Société des automobiles de Riancey

Dans le monde d’aujourd’hui, Société des automobiles de Riancey est un sujet qui a retenu l’attention de nombreuses personnes. Que ce soit en raison de son importance dans la société moderne, de son impact sur la culture populaire ou de son influence sur l'histoire, Société des automobiles de Riancey est devenu un sujet d'intérêt général. Au fil des années, elle a fait l’objet de débats, d’analyses et de discussions dans tous les domaines, de la politique à la science. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Société des automobiles de Riancey et son rôle dans le monde d'aujourd'hui, offrant une vue complète de son importance et de sa pertinence aujourd'hui.

Société des Automobiles de Riancey
logo de Société des automobiles de Riancey
Voiturette de Riancey.
illustration de Société des automobiles de Riancey

Création 1899
Disparition 1901
Siège social Levallois-Perret
Drapeau de la France France
Activité Automobiles, Voiturettes
Produits Voiturette

La Société des Automobiles de Riancey est un constructeur pionnier de l'automobile française, entre 1899 et 1901.

Historique

L’entreprise de Levallois-Perret commence à produire des petites voitures en 1899, commercialisées sous le nom de Riancey. En 1899, la Voiturette De Riancey fait ses débuts à l’Exposition de l’Automobile Club. D’autres véhicules exposés provenaient de De Dion-Bouton, Renault, Tourgan et Foy, Levenn, et Quérey. En 1899, les établissements Snoeck de Belgique ont conclu un accord de licence avec le constructeur automobile français De Riancey pour la production d’automobiles selon le système breveté pour un véhicule à traction avant. On ne sait pas si des véhicules similaires à ceux produits par De Riancey ont effectivement été produits. De Riancey et son partenaire Gevin ont disposé le moteur et la direction sur un sous-châssis rotatif. Cette unité formait un cheval d’automobile.
La traction avant présentait des avantages en raison de la direction simple et de la réduction de l’effet de dérapage du véhicule.
Le moteur de 2 ¹⁄₂ ch avait deux cylindres, avec des ailettes refroidies par air. Le moteur boxer avait un allumage électrique. Le prix a été fixé à 5500 francs. Le véhicule pesait 230 kg. Le corps offrait de la place pour deux personnes.
Un véhicule survivant de cette marque est exposé au Château de Grandson. La production s’est terminée en 1901.

Références

Voir aussi

Bibliographie

Source