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De 1997 à 2001, il est chef de cabinet de Jean-Pierre Masseret, secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants, qui prend notamment en charge le dossier des malgré-nous, soldats d'Alsace-Moselle incorporés de force dans l'armée allemande. Devenu sénateur en 2001, il reste chargé de mission dans ce secrétariat d'État auprès de Jacques Floch.
Il préside la communauté de communes du Sillon mosellan de 2008 à 2013 et soutient sa fusion au sein de la communauté de communes Rives de Moselle, préférence à un rapprochement avec le sud mosellan. Il y porte le dossier de construction d'une piscine par l'intercommunalité à Talange plutôt qu'à Hagondange : « On a travaillé avec Maizières-lès-Metz à la construction d’une piscine. Il y a eu trois candidatures de communes. Hagondange n’a jamais répondu. Mais l’idée est peut-être de se faire payer la rénovation de la piscine qu’il a fermée. Une commune ne peut plus porter seule une piscine ».
Sénateur
Il est élu sénateur le , puis réélu le .
Le , il est désigné premier questeur du Sénat, charge qu'il assume jusqu'à l'alternance sénatoriale de 2014. Il ne se représente pas à cette dernière fonction, déclarant que le Sénat a mené une politique économe : « Le budget 2015 sera inférieur à celui de 2008. Cela représente 40 millions d’euros d’économies ».
Ayant retrouvé son mandat de sénateur après la fin de ses fonctions gouvernementales, il est réélu le .
Le , lors d'une cérémonie d'hommages, il refuse que soit entonnée La Chanson de Craonne, un chant antimilitariste datant de 1917. Il rappelle que, chef de cabinet de Jean-Pierre Masseret, il a organisé la cérémonie du au cours de laquelle Lionel Jospin a rendu hommage aux soldats fusillés pour l'exemple et que, membre du gouvernement, son cabinet a organisé la cérémonie du au cours de laquelle cette même chanson a été chantée devant François Hollande et d'autres chefs d'État et de gouvernement. Il justifie également ce refus par le fait que le programme des commémorations du avait plusieurs heures de retard.