Valère Passelecq

Dans cet article, nous allons explorer Valère Passelecq en profondeur et analyser son impact dans différents contextes. Valère Passelecq est un sujet qui a retenu l'attention de nombreuses personnes ces dernières années et sa pertinence continue de croître. Depuis son apparition, Valère Passelecq a généré des débats passionnés et suscité un intérêt croissant pour son étude. Au fur et à mesure que nous progressons dans cet article, nous examinerons l'importance de Valère Passelecq dans la société actuelle, ainsi que ses implications dans différents domaines. Nous plongerons dans ses origines, son évolution et ses perspectives d'avenir, en offrant une vue complète et détaillée de Valère Passelecq. À travers une approche multidisciplinaire, nous souhaitons faire la lumière sur ce sujet et proposer une analyse exhaustive qui permet de mieux comprendre son sens et son impact dans le monde d’aujourd’hui.
Valère Passelecq
Naissance
Ixelles
Décès (à 25 ans)
Wolfenbüttel
Nationalité Belge
Pays de résidence Drapeau de la Belgique Belgique
Activité principale


Valère Passelecq, né à Ixelles le , décapité à Wolfenbüttel le est un résistant belge et un militant wallon.

Membre actif du Cercle des étudiants wallons de l'ULB, il fait également partie de la Concentration wallonne et fait chaque année le pèlerinage annuel au monument de Plancenoit de l'aigle blessé (Waterloo).

Il fait la Campagne des 18 jours, refuse d'abandonner la lutte, passe en Angleterre où il acquiert le grade de lieutenant parachutiste. Il est alors parachuté en Belgique, le , dans le cadre de la mission Incomparable avec son opérateur radio, René Copinne, Mission Mastiff. Le réseau est dénoncé par un traitre (Delmeir aka Le Clochard), ce qui conduira au démantèlement du réseau. Valère Passelecq et René Copinne sont arrêtés à la safe house de ce dernier, le . Le lendemain, le Père Agnello qui couvrait les activités d'émissions clandestines de René Copinne est arrêté à son tour.

Valère Passelecq rencontre Robert Thonon dont il partagera le combat puis la captivité et enfin la mort après avoir été condamné à cette peine par un tribunal allemand. Valère Passelecq avait en effet tenté une évasion, arrêté, il est condamné à mort et décapité au camp de Wolfenbüttel, le .

Le Cercle des étudiants wallons de l'ULB lui rendit régulièrement hommage au début du mois de juin chaque année en raison du courage et du patriotisme dont avaient fait preuve ces anciens du Cercle wallon de l'ULB.

Une plaque apposée à la façade de son domicile au no 71 de la Rue Mercelis à Ixelles rappelle l'essentiel de ces faits.

Notes et références