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The Wall Live est une série de concerts mondiaux de Roger Waters, ancien membre de Pink Floyd, où l’album The Wall est joué en entier par son groupe ou par, quelquefois, un ancien membre de Pink Floyd. Le coût de la tournée est estimé à 60 millions de dollars. La première étape de la tournée en Amérique du Nord a rapporté plus de 89,5 millions dollars.
La première partie de la tournée a commencé à Toronto le et s'est terminée le à Mexico. La deuxième partie, la tournée européenne, a commencé le à Lisbonne au Portugal et s'est terminée le à Athènes, en Grèce. La tournée suivante, celle de l'Australie, la Nouvelle-Zélande et de l'Amérique du Sud, commence le à Perth et se termine le . La quatrième étape, un retour en Amérique du Nord, commence et se termine le à Québec, au plaines d'Abraham, un ancien champ de bataille. Ce dernier spectacle à Québec est la deuxième fois que The Wall est joué en plein air. La première était à Berlin en 1990. La seconde partie de la tournée européenne a lieu du au , pour s'achever au stade de France.
Il y a d'autres morceaux qui changent de ville en ville. Ensuite, juste avant le spectacle, un sans abri ou un soldat vient faire un discours avec une peluche de Pink, le personnage principal de l’album.
Le spectacle
Le début en trompette de In the flesh? est joué et, sans avertissement, In the flesh? commence en même temps que de plusieurs feux d'artifice qui explosent en même temps que les puissants accords du morceau, ce jusqu'au moment où Roger Waters enfile son déguisement noir orné de marteaux et commence à chanter. À la fin du morceau, une cinématique fait croire au public qu'un avion s'est écrasé sur scène. Dans The Thin ice, des projections de soldats morts à la guerre se font voir. Ensuite, dans Another brick in the wall (Part 1) c'est au tour de projections rouges et floues de se faire voir. Dans The Happiest days of our life, une marionnette gigantesque apparaît, ainsi que dans Another brick in the wall (Part 2) - où des enfants viennent pour danser au rythme de la chanson. Ensuite, un nouveau morceau qui n'est pas dans l’album se fait entendre jusqu'à se faire remplacer par un discours de Roger Waters. Ensuite Mother fait surface avec une marionnette géante et des mots projetés sur le mur. Ensuite c'est au tour de Goodbye blue sky qui apparaît avec des images troublantes. Ensuite vient le tour de d'une version prolongée d'Empty spaces, What Shall We Do Now? avec des images macabres et étranges. Vient le tour de Young lust où une projection de femme est visible. Le one of my turns est accompagné de projections étranges incluant la voix de Roger Waters. Dans Don't leave me now, la marionnette géante de la femme est visible tandis que dans Another brick in the wall (part 3) ce sont des étranges projections. Un morceau inédit The last few brick est joué et c'est ensuite Goodbye cruel world lors duquel la dernière brique du Mur est posée, complétant l'édifice.
La deuxième partie débute avec Hey you et Is there anybody out there où seulement le mur est visible. Dans Nobody home Roger Waters est visible dans une pièce dans le mur. Dans Vera et Bring the boys back home, des images contre la guerre sont visibles. Dans Comfortably numb des projections multicolores sont visibles qui se clôture avec un solo de guitare en haut du mur. Le The show must go on est chanté par des soldats de Pink. Ensuite vient In the flesh où des drapeau de marteaux sont visibles avec Roger Waters déguisé. Ensuite il y a Run like hell dans lequel il y a un cochon volant géant qui sort de sous le mur accompagné de projections de tyrannie entre autres. Dans Waiting for the worms des projections de vers sont visibles avec Roger Waters qui chante avec un cône vocal suivi de projections de marteaux. Dans Stop une peluche de Pink se fait voir en haut du mur. Ensuite The trial qui vient avec des projections absurdes. Le spectacle fini avec Outside the wall où on voit les artistes qui ont participé.