Dans cet article, nous allons approfondir le sujet de Rue Guénégaud, en explorant différentes perspectives et aspects qui nous aideront à comprendre son impact et son importance aujourd'hui. De son origine à sa pertinence dans divers domaines, Rue Guénégaud a fait l'objet d'intérêt et de débats de la part des experts et du grand public. Nous analyserons son évolution dans le temps, ainsi que son influence sur la société et sa pertinence dans différents domaines, afin de proposer une vision globale et complète de Rue Guénégaud. À travers cet article, nous visons à faire la lumière sur ce sujet et à fournir un regard profond et éclairant qui permet au lecteur d'avoir une meilleure connaissance et compréhension de Rue Guénégaud.
La rue a été ouverte en 1641 et 1664 sur l'ancien terrain de l'hôtel de Nevers vendu cette année-là à Henri du Plessis-Guénégaud, qui y fait construire son hôtel particulier dont la rue tient le nom.
En 1719, le peintre François Marot (1666-1719) meurt en son domicile de la rue Guénégaud. En 1791 et 1792, Jeanne Marie Philipon (1754-1793), dite Mme Roland, a tenu un salon politique rue Guénégaud : elle y reçoit les principales personnalités politiques girondines de la Révolution française. En 1829, le peintre Jean-Baptiste Régnault meurt en son domicile, situé au n° 15 de la rue.
Au no 9 : logement du poète Pierre-Paul Poulalion (1801-1871) et de sa revue Le poète boiteux, écrite, publiée et distribuée par lui-même dans les établissements de boisson du quartier latin, entièrement rédigé à sa gloire.
Au no 17 : maison du procureur Pierre Camus et de son fils Armand-Gaston Camus, avocat au Parlement de Paris, représentant du tiers état aux États-Généraux, constructeur de l'hôtel de Beauvau ; une plaque lui rend hommage. En avril 1895, Fernand Clerget y fonde la Bibliothèque de l'Association.
↑Augustin Jal, Dictionnaire critique de biographie et d’histoire. Errata et supplément pour tous les dictionnaires historiques, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), p. 840.