Régiments d'infanterie français d'Ancien Régime (H)
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C'est l'ancien régiment de Royan (1761-1762), est renommé « régiment de Hainault » en 1761. Par ordonnance du , la compagnie de grenadiers du bataillon de garnison du régiment forme le régiment des grenadiers royaux de la Picardie. Le « régiment de Hainault » est devenu depuis la Révolution le 50e régiment d'infanterie de ligne.
C'est l'ancien régiment de Karrer, est renommé « régiment de Hallweyl » après avoir été donné le à Jean-François-Joseph, comte de Hallweyl. Engagé dans la guerre de Sept-Ans le régiment se trouve partagé entre Saint-Domingue, La Martinique, La Louisiane et Rochefort. Il est licencié le . Ce régiment avait quatre drapeaux. Le drapeau colonel était semé de fleurs de lys d'or avec la devise : Fidelitate et honore, terrâ et mari. Les drapeaux d'ordonnance étaient divisés dans chaque carré en flammes rouges, bleues et jaunes. L'uniforme consistait en habit rouge, doublure, veste et culotte bleues, boutons et boutonnières blancs, chapeau galonné d'argent.
Régiment de Hallweyl 1752-1763)
Régiment d'Halwyn (1619-1633)
Ce régiment est levé par de Charles de Schomberg, duc d'Halwyn. Réformé le , il est rétabli le et mis en garnison dans le Poitou jusqu'à son licenciement en 1633.
C'est l'ancien régiment de Weinley, qui est renommé « régiment d'Hamat » après avoir été donné en 1709 à N. d'Hamat. Engagé dans la guerre de Succession d'Espagne il est licencié en 1712.
C'est l'ancien régiment de Navailles (1674-1679), qui est renommé « régiment d'Hamilton » en et qui prend le nom de régiment de Jarzé (1685-1691) en 1685.
C'est l'ancien régiment de Sourches (1665-1675), qui est renommé « régiment d'Harcourt » le et qui prend le nom de régiment d'Humières (1677-1684) le .
Régiment d'Harcourt (1675-1677)
Régiment de Hartmanis
C'est l'ancien régiment de Schawenstein, qui est renommé après la mort de son colonel Rodolphe de Schawenstein « régiment de Hartmanis » du nom de son successeur Hartmann de Hartmanis. Le le régiment arrive devant Pariset participe à la bataille d'Ivry en 1590. Il est congédié le après la paix de Vervins. Ce régiment et les régiments de Fischer, d'Arreger et de Grissach faisaient partie de la capitulation négociée par Nicolas de Harlay de Sancy, à Ivry, qui y engagea le fameux diamant acquis par lui du roi de Portugal, et qui est resté connu sous le nom de Sancy.
Régiment de Haucourt
C'est l'ancien régiment de Charnacé, qui dans le cadre de la guerre de Trente Ans, est renommé « régiment de Haucourt » en 1637 du nom de son nouveau mestre de camp N. de Haucourt. Il est licencié en 1650.
Ce régiment est créé le et formé le du bataillon de Lecomte du régiment d'Anjou, pour Jean-Louis, comte d'Hautefort-Bosen. Engagé dans la guerre de la Ligue d'Augsbourg, il est employé à l'armée de Flandre. Il est incorporé le , après le traité de Ryswick, dans le régiment de La Couronne.
Ce régiment liégeois est levé le , par N. comte d'Hénin. Il prend le nom de régiment de La Rochette après avoir été donné à N. de La Rochette en 1635.
Régiment d'Henrichemont
Le régiment est levé le par N. de Béthune-Sully, prince d'Henrichemont. Affecté à l'armée d'Italie il se trouve à la bataille de Buffalora(it) en 1636. Il prend le nom de régiment de Béthune après avoir été donné en 1641 à N. marquis de Béthune.
C'est l'ancien régiment de Navailles, qui est renommé « régiment d'Herbouville » en 1652 et qui prend le nom de régiment de Saint-Vallier (1666-1671) en 1666.
Régiment d'Herbouville (1652-1666)
Régiment d'Herbouville
Le régiment est formé des milices de Rouen, par Adrien, comte d'Herbouville. Engagé dans la guerre de la Ligue d'Augsbourg, il sert d'abord sur les côtes puis rejoint l'armée de Flandre, avec laquelle il se trouve à la bataille de Neerwinden, et au siège de Charleroi en 1693 puis il fait les campagnes de 1696 et 1697 sur la Meuse. Il est licencié .
Régiment d'Hernoton
C'est l'ancien régiment d'Astour, qui est renommé « régiment d'Hernoton » après avoir été donné en après avoir été donné à N. d'Hernoton. Engagé dans la guerre de Succession d'Espagne, il est licencié le .
Régiment d'Hérouville
Le régiment est levé le par N. d'Hérouville. Engagé dans la guerre de Succession d'Espagne, il sert à l'armée de Flandre. Il prend le nom de régiment de Thézut après avoir été donné en 1704 à N. de Thézut.
C'est l'ancien régiment de Carné, qui est renommé « régiment d'Hoccart » après avoir été donné le à Zacharie Hoccart. Engagé dans la guerre de Succession d'Espagne, il est incorporé le dans le régiment de Navarre.
Régiment d'Hocquincourt (1617-1640)
Ce régiment est levé par Georges de Monchy, marquis d'Hocquincourt. Réformé le il est rétabli le , pendant les rébellions huguenotes, et participe aux sièges de Saint-Antonin et de Montpellier et est réformé le . Rétabli le , il participe à la campagne de Savoie. Réformé en , le régiment est rétabli le , dans le cadre de la conquête de la Lorraine. Mis en garnison à Schlesladt, il est donné en 1639 à Charles de Mannay de Camps-en-Amienois et prend le nom de régiment de Camps. Il est licencié le .
C'est l'ancien régiment du Buisson (1635-1652), qui, après avoir été donné le à Charles de Monchy, maréchal d'Hocquincourt prend le nom de « régiment d'Hocquincourt ». Il est licencié en 1656.
Régiment d'Hocquincourt (1652-1659)
C'est l'ancien [régiment de Mazancourt, qui, après avoir été donné le à Charles de Monchy, marquis d'Hocquincourt, prend le nom de « régiment d'Hocquincourt ». Mis en garnison à Péronne, il est donné le à Georges d'Hocquincourt, fils du précédent, qui défend Péronne contre son père en 1656. Le régiment est licencié .
Régiment de Hohen-Sax
Levé en 1556, durant la dixième guerre d'Italie, par Ulrich Philippe, baron de Hohen-Sax, pour l'armée de Picardie, il est renvoyé la même année après la trêve de Vaucelles.
Régiment d'Horion
Ce régiment liégeois est levé le par N., comte d'Horion. Engagé dans la guerre de Sept Ans il sert dans l'armée d'Allemagne. Il est licencié le . Habit bleu, parements, revers, collet, veste et doublure rouges; boutons et agréments jaunes; douze sur chaque côté de l'habit, trois sur chaque parement, douze sur chaque côté de la veste, trois sur les poches de l'habit et de la veste, chapeau bordé d'or.
Régiment d'Hossifaire
Ce régiment est levé le par N. d'Hossifaire. Engagé dans la guerre de la Ligue d'Augsbourg, il sert à l'armée d'Italie en 1696 et à l'armée du Rhin en 1697. Il est réformé le .
Ce régiment est levé le , par César de Choiseul du Plessis-Praslin, comte d'Hôtel. Il est renommé régiment de Joinville en 1624. Il prend les noms de régiment de Plessis-Praslin, en 1627 puis de nouveau celui de « régiment d'Hôtel » en 1643 puis redevient le régiment de Plessis-Praslin en 1650.
C'est l'ancien régiment de Nanteuil, qui, après avoir été donné est à Antoine de La Mothe, marquis d'Houdancourt est renommé « régiment d'Houdancourt » le . Il est licencié le .
Régiment d'Houdenhoe
C'est l'ancien régiment de Rheingraff, qui prend le nom de « régiment d'Houdenhoe » après avoir été donné en 1708 à N. baron d'Houdenhoe. Engagé dans la guerre de Succession d'Espagne il est licencié en 1712.
Régiment d'Houdetot (1702-1714)
Ce régiment est levé le par Charles, marquis d'Houdetot. Engagé dans la guerre de Succession d'Espagne il rejoint l'armée du Rhin, participe à l'expédition de Villars en 1706, passe en Flandre en 1707. Il est licencié le .
Régiment d'Houdetot (1706-1712)
Ce régiment est levé le par N. comte d'Houdetot. Engagé dans la guerre de Succession d'Espagne il sert dans les garnisons de Flandre. Il prend le nom de régiment de Caylus (1712-1714) après avoir été donné en à N. chevalier de Caylus.
Régiment d'Houdetot (1712-1714)
C'est l'ancien régiment de Choisel, qui prend le nom de « régiment d'Houdetot » après avoir été donné en à N. chevalier d'Houdetot. Engagé dans la guerre de Succession d'Espagne il sert à l'armée d'Espagne et participe au siège de Barcelone durant lequel son colonel est tué. Le régiment est licencié en 1714.
C'est l'ancien régiment de Damas (1708-1712), qui est renommé « régiment d'Houdetot » après avoir été donné en à N. comte d'Houdetot. Engagé dans la guerre de Succession d'Espagne il sert dans l'armée de Catalogne en 1713 et participe au siège de Barcelone en 1714 durant lequel le colonel y est tué. Il prend le nom de régiment de Guerchy après avoir été donné en 1714 à N. de Regnier, comte de Guerchy.
Régiment de Hug
En 1555, durant la dixième guerre d'Italie, le colonel Jean Hug, de Lucerne, amène à l'armée de Picardie, un corps 4 000 hommes. Le colonel est remplacé, la même année, par le colonel Von Pro, d'Uri. Le régiment est congédié à la fin de la campagne.
C'est l'ancien régiment de Trémont, qui après la mort de son mestre de camp est donné à Jacques du Blé, marquis d'Huxelles et renommé « régiment d'Huxelles » en 1625. Réformé en , le régiment est rétabli en dans le cadre de la guerre de Succession de Mantoue. Il sert en Savoie et est licencié après la campagne de 1629.
C'est l'ancien régiment de Boyons, qui, après avoir été donné à Louis Chalons du Blé, marquis d'Huxelles, le , prend le nom de « régiment d'Huxelles » puis il est renommé régiment de Mazarin-Français le .