Dans cet article, nous explorerons l’histoire fascinante de Pyrus nivalis, un sujet qui a retenu l’attention d’innombrables personnes au fil des ans. Pyrus nivalis a fait l'objet de débats, d'études et de spéculations, et son impact sur la société a été profond et durable. Depuis les premiers documents historiques jusqu'à nos jours, Pyrus nivalis a joué un rôle essentiel dans l'élaboration de la culture, de la politique et de la façon dont nous comprenons le monde qui nous entoure. Tout au long de ces pages, nous plongerons dans l’histoire riche et diversifiée de Pyrus nivalis, explorant ses origines, son évolution et sa pertinence dans le monde moderne.
L'espèce est nommée en français « Poirier des neiges,,, « Poirier couleur de neige, », « Poirier neigeux, » ou « Poirier d'hiver », en référence à son feuillage blanchâtre du fait de l'indument persistant sur la face dorsale de la feuille.
Les pédicelles, tomenteux et lancéolés, mesurent 3 à 6 cm de long. Les fleurs, de 35 à 45 mm de diamètre, ont les sépales triangulaires, longs de 6 à 8 mm et larges de 3 à 4 mm, l'apex acuminé ; les pétales sont blancs, obovales-elliptiques, longs de 14 à 16 mm et larges de 12 à 14 mm. Les ovaires possèdent cinq locules. Les fruits sont de petites poires vert jaunâtre avec des points violets, globuleuses, mesurant entre 3 et 5 cm de diamètre ; les sépales sont persistants sur le fruit.
P. elaeagrifolia diffère de P. nivalis par des styles parcourus de villosités jusqu'au milieu au lieu de seulement jusqu'à la base, des fruits plus petits (2 à 3 cm de diamètre), et des feuilles souvent plus étroites, lancéolées ou étroitement elliptiques.
↑(la) Nikolaus Joseph von Jacquin, Florae Austriacae, sive plantarum selectarum in Austriae archiducatu sponte crescentium, icones, ad vivum coloratae, et descriptionibus, ac synononymis illustratae, vol. 2, Vienne, Autriche, , p. 4