Dans cet article, nous explorerons la vie et l'œuvre fascinantes de Pesco-végétarisme, un individu qui a laissé une marque indélébile dans l'histoire. Depuis ses modestes débuts jusqu’au sommet de sa carrière, Pesco-végétarisme s’est révélé être un véritable leader et visionnaire dans son domaine. Tout au long de ces pages, nous examinerons son héritage et ses contributions, ainsi que l'impact qu'il a eu sur la société et le monde qui l'entoure. Pesco-végétarisme est un personnage digne d'étude et d'admiration, et à travers cet article, nous espérons offrir un aperçu plus approfondi de sa vie et de son impact sur l'histoire.
Le pesco-végétarisme ou pescétarisme est une pratique alimentaire consistant à s'abstenir de consommer de la viande, mais à consommer la chair issue des poissons, des crustacés et des mollusques aquatiques.
Cette pratique était celle des Cathares.
Le terme « pesco-végétarisme » se traduit en anglais par pesco-vegetarianism, pescetarianism ou pescatarianism. En français, le terme « pescétarisme » est également employé, notamment par les végétariens qui veulent éviter que le pesco-végétarisme soit perçu comme une forme de végétarisme,. En effet, le végétarisme exclut en principe la chair de tous les animaux, y compris marins, même si certains auteurs donnent parfois une définition moins stricte de cette pratique,,.
Le Grand Larousse gastronomique définit le pesco-végétarisme comme une pratique alimentaire autorisant le poisson mais excluant les laitages et les œufs,. Il s'agit toutefois d'un cas isolé ; pour les autres auteurs, le pesco-végétarisme est seulement une variante moins restrictive du végétarisme, qui n'ajoute aucune restriction à ce dernier.
D'autres variantes semblables existent, par exemple le « pollo-végétarisme » (qui autorise la volaille). Ces variantes sont parfois rangées sous l'appellation de « semi-végétarisme ». Au contraire, l'ovo-végétarisme et le lacto-végétarisme sont des catégories plus restrictives du végétarisme, qui excluent respectivement les produits laitiers et les œufs.
Plusieurs études ont été réalisées à partir d'une base de données portant sur plus de 77 000 personnes vivant aux États-Unis et au Canada et présentant des modes de vie similaires, alimentation mise à part. Ces études ont montré qu'au sein de ce groupe, les végétariens vivaient plus longtemps et étaient moins sujets à certaines maladies, la différence étant plus significative chez les hommes.
Parmi toutes les pratiques alimentaires considérées, le pesco-végétarisme était celle qui présentait le taux d'incidence le plus faible pour certains cancers, notamment le cancer colorectal. Les adeptes de cette pratique bénéficiaient également de la mortalité la plus faible,.