Aujourd'hui, nous allons entrer dans le monde passionnant de Parc de la Pépinière. A cette occasion, nous explorerons en profondeur tous les aspects liés à Parc de la Pépinière, de ses origines à sa pertinence aujourd'hui. De plus, nous analyserons son impact dans différents domaines, que ce soit dans la société, la culture, l'économie ou tout autre domaine pertinent. Dans le but de fournir un aperçu complet et détaillé, nous examinerons différents points de vue et opinions d’experts sur le sujet. Parc de la Pépinière est devenu un sujet d'intérêt croissant, et il est essentiel de comprendre sa nature et son évolution pour comprendre son influence sur notre vie quotidienne.
Implanté au cœur de la ville, il en occupe 1,45 % de l'espace avec une superficie de 21,7 hectares (sur 1 501). Il est membre du CPJF (Comité des parcs et jardins de France).
Malgré sa transformation en parc et son ouverture au public en 1835, la pépinière n'a pas subi beaucoup de modifications réelles, l'aménagement en seize carrés de cultures a été conservé et on le retrouve encore aujourd'hui en observant le tracé perpendiculaire de ses allées.
Bernard Feder, conseiller municipal de Nancy entre 1953 et 1977, adjoint au maire à partir de 1959 a donné son nom à une allée du parc.
Le , a eu lieu l’inauguration d’une autre allée du parc portant le nom de la ville israélienne de Kiryat Shmona, ville jumelée avec Nancy.
Le 7 mai 2022 le nom de Bernard Guerrier de Dumast est donné à l'allée traversant la Pépinière de la place Nelson Mandela à la rue Grandville.
Le 10 décembre 2022 a été inaugurée une allée "Jojo Animal emblématique de la Ville de Nancy" en mémoire de Jojo le chimpanzé. Elle traverse l'Espace animalier où Jojo a vécu l'essentiel de sa vie.
Hêtre pourpre et plaques d'information le concernant
Depuis 2017, cependant, l'arbre est confirmé comme malade à cause de champignons (voir deuxième photo) et potentiellement dangereux. Un périmètre de sécurité permanent a ainsi été mis en place afin d'éviter tout accident.
Divers
Le parc se compose aussi d'aires de jeux pour enfants sur le thème de Bilbo, manèges et théâtre de Guignol.
Il comporte également :
un espace de présentation d'animaux (diverses races de canards, des grues couronnées, des lapins, des paons...) ; à ses débuts (sa création remonte aux XVIIIe et XIXe siècles), des lions, crocodiles, ours bruns, loups, pumas, kangourous, fennecs étaient exposés. L'un des animaux, un chimpanzé du nom de Jojo, né en 1951, arrivé au parc en 1963 et mort en 2012 à l'âge honorable de 60 ans (faisant de lui le plus vieux chimpanzé d'Europe en captivité à l'heure actuelle), est devenu avec le temps une célébrité locale (il fut par la suite empaillé et placé au Muséum-Aquarium de Nancy),. Cependant, l'espace étant une ménagerie à l'ancienne à l'image des tout premiers parcs zoologiques avec impossibilité d'améliorations, tous les animaux exotiques furent retirés petit à petit pour être remplacés par des animaux domestiques de ferme. Les derniers animaux retirés en date sont les macaques de Java et les daims (ces derniers étant pourtant des animaux non-exotiques pouvant être gardés et élevés comme ceux domestiques),. L'espace ne proposera plus que des animaux domestiques (à l'exception des paons bleus et des grues couronnées, qui restent des espèces exotiques de base, et des cigognes blanches, animal indigène d'Europe, dont la présence est voulue dans un cadre de conservation de l'espèce) et développe depuis plusieurs années une approche plus éducative envers le public sur les animaux et leur bien-être.
des agrès de sport pour faire du street-working (tractions, dips, abdos...) ;
une aire de jeux et des manèges pour enfants ; à côté de l'espace animalier et la roseraie. Ces attractions pour enfants ont été aménagées et construites en 1939 par la grand-mère du propriétaire actuel, Daniel Brogard, d'ailleurs figure locale. En fin octobre 2021, l'un des manèges, le karting, est détruit lors d'un incendie d'origine inconnue,.
À l'hiver 2012-2013, le centre ornithologique lorrain a recensé une colonie d'une centaine de perruches à collier nichant dans les arbres de la Pépinière. Il s'agit d'une population marrone, estimée à environ 300 oiseaux, de cette espèce et qui s'est adaptée avec le temps, la première observation datant de 1984 pour ensuite s'intensifier durant le début des années 2000 et dont la pépinière est le fief. Bien qu'étant une espèce exotique, les perruches à collier ne sont pas, pour le moment, considérées comme envahissantes et ne provoquent pas de dégâts nocifs pour l'environnement ni ne concurrencent sérieusement les autres espèces d'oiseaux. Leur population est cependant régulièrement surveillée par précaution. Il est aussi possible d'observer dans le parc d'autres animaux sauvages, indigènes, comme le pigeon biset, le pigeon ramier, le corbeau freux, la corneille noire, le choucas, la mésange charbonnière ou encore le moineau. Le faucon pèlerin est parfois observé dans le parc lorsqu'il chasse les autres oiseaux. Le héron cendré, en provenance de la rivière à côté de la pépinière, peut aussi être visible dans le parc de temps en temps. Des écureuils roux peuvent aussi être croisés dans le parc. La présence de chauves-souris a aussi été attestée.
Paons en liberté dans la roseraie. Ces animaux peuvent aller et venir dans tout le parc mais restent en général dans les environs de l'espace animalier.