De nos jours, NGC 5252 est un sujet qui a retenu l'attention d'un grand nombre de personnes à travers le monde. Avec les progrès de la technologie et des réseaux sociaux, l'intérêt pour NGC 5252 s'est accru, devenant un sujet de conversation récurrent dans la société d'aujourd'hui. Que ce soit en raison de son impact sur la vie quotidienne, de sa pertinence historique ou de son importance dans différents domaines, NGC 5252 est devenu un élément omniprésent dans nos vies. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de NGC 5252 et son influence sur le monde d'aujourd'hui.
À ce jour, une mesure non basée sur le décalage vers le rouge (redshift) donne une distance d'environ 67,900 Mpc (∼221 millions d'al). Cette valeur est à l'extérieur des valeurs de la distance de Hubble. Notons que c'est avec la valeur moyenne des mesures indépendantes, lorsqu'elles existent, que la base de données NASA/IPAC calcule le diamètre d'une galaxie et qu'en conséquence le diamètre de NGC 5252 pourrait être d'environ 53,2 kpc (∼174 000 al) si on utilisait la distance de Hubble pour le calculer.
Trou noir supermassif
Selon les auteurs d'un article publié en , la masse du trou noir central de M51 (NGC 5252) est de 1,10 x 108 (108,04).
Une étude réalisée en auprès de 90 galaxies de type Seyfert 2 utilisant la dispersion des vitesses a permis d'estimer la masse des trous noirs supermassifs centraux de celles-ci. Pour NGC 5252, la masse du trou noir est égale à 110 × 106 (108,04).
Selon une autre étude réalisée auprès de 76 galaxies par Alister Graham en , le bulbe central de NGC 5252 renferme un trou noir supermassif dont la masse est estimée à 10,6+16,3 −5,0 x 108.
Selon une troisième étude publiée en 2009 et basée sur la vitesse interne de la galaxie mesurée par le télescope spatial Hubble, la masse du trou noir supermassif au centre de NGC 5252 serait comprise entre 130 millions et 700 millions de .
Une quatrième étude publiée en et basée sur la dispersion des vitesses de la région centrale de NGC 5252, la masse du trou noir serait de 110 millions de (108,04).
↑Jong-Hak Woo et Urry, « ACTIVE GALACTIC NUCLEUS BLACK HOLE MASSES AND BOLOMETRIC LUMINOSITIES », The Astrophysical Journal, vol. 579, , p. 46 pages (lire en ligne )
↑W. Bian et Q. Gu, « The Eddington Ratios in Seyfert 2 Galaxies with and without Hidden Broad-Line Regions », The Astrophysical Journal, vol. 657, no 1, , p. 159-166 (DOI10.1086/510708, Bibcode2007ApJ...657..159B, lire en ligne )
↑Alister W. Graham, « Populating the galaxy velocity dispersion – supermassive black hole mass diagram: A catalogue of (Mbh, σ) values », Publications of the Astronomical Society of Australia, vol. 25#4, , p. 167-175, table 1 page 174 (DOI10.1088/1009-9271/5/4/002, Bibcode2005ChJAA...5..347A, lire en ligne )
↑A. Beifiori, M. Sarzi, E.M. Corsini, E. Dalla Bontà, A. Pizzella, L. Coccato et F. Bertola, « UPPER LIMITS ON THE MASSES OF 105 SUPERMASSIVE BLACK HOLES FROM HUBBLE SPACE TELESCOPE/SPACE TELESCOPE IMAGING SPECTROGRAPH ARCHIVAL DATA », The Astrophysical Journal, vol. 692, no 1, , p. 856-868 (DOI10.1088/0004-637X/692/1/856, lire en ligne )
↑Andrea Marinucci, Stefano Bianchi, Fabrizio Nicastro, Giorgio Matt et Andy D. Goulding, « The Link between the Hidden Broad Line Region and the Accretion Rate in Seyfert 2 Galaxies », The Astrophysical Journal, vol. 748, no 2, , p. 10 pages (DOI10.1088/0004-637X/748/2/130, Bibcode2012ApJ...748..130M, lire en ligne )