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Massacre de la synagogue de Har Nof
Le quartier de Har Nof, à l'extrémité ouest de Jérusalem, a été construit dans les années 1980.
Il fait six morts (cinq rabbins et un policier druze), et sept blessés parmi les fidèles. Les deux agresseurs ont été tués.
Déroulement
Au 5 rehov Agassi, durant la Sha'harit (prière du matin), deux agresseurs attaquent les fidèles en prière à coups de hache, de couteau ainsi qu'avec deux pistolets. Ils ont été tués lors d'un échange de tirs avec des policiers arrivés sur place.
Quatre rabbins sont assassinés : Moshe Twersky, 59 ans, responsable de la Yeshiva « Torat Moshe » ; Kalman Levine, 55 ans ; Aryeh Kopinsky, 43 ans ; et Avraham Shmuel Goldberg, 68 ans. Les quatre victimes ont une double nationalité : israélienne et américaine pour les trois premiers ; britannique pour le quatrième. Le policier druze Zidan Saif, également tué, est enterré dans son village, Yanuh-Jat(en), en présence du Président israélienReuven Rivlin. Le rabbin Haim Yehyel Rotman, touché de plusieurs coups de hache à la tête, décède le , à l'âge de 55 ans, après être resté un an dans le coma.
Réactions
Israël : les autorités israéliennes dénoncent et incriminent Mahmoud Abbas, l'Autorité palestinienne et le Hamas, pour avoir incité les populations palestiniennes à commettre des attentats et avoir encouragé cet acte terroriste. Le Premier ministre israélien Binyamin Nethanyaou affirme : « La communauté internationale ignore l'incitation qu'est son inaction. Nous allons répondre de main ferme à ce meurtre cruel de juifs venus prier et qui ont été assassinés par la main de tels meurtriers. »
États-Unis : le Président des États-UnisBarack Obama condamne l'attaque, ainsi que le secrétaire d'État américain John Kerry qui condamne un « acte de pure terreur et d'une brutalité insensée ». Lors d'une réunion à Londres avec le ministre des Affaires Étrangères britannique, il parle d'acte terroriste. Il écrit également aux dirigeants palestiniens pour leur enjoindre de condamner l'attaque ;
Union européenne : Federica Mogherini, chef de la Police Étrangère de l'Union Européenne condamne l'attaque, qualifiée d'« acte terroriste » ;
France : le président François Hollande dénonce « avec la plus grande force l'odieux attentat » et « ceux qui ont osé saluer cet acte ».
De nombreux autres pays ont également condamné l'attentat.
Dans le monde arabe, ce massacre suscite des réactions variées :
Palestine : Mahmoud Abbas, président de l'Autorité Palestinienne, condamne l'attentat, voulant faire porter la responsabilité « directe » au Premier ministre israélien ;
Jordanie : si des membres du parlement jordanien observent une minute de silence à la mémoire des « martyrs qui ont bombardé et assassiné les sionistes », le gouvernement jordanien condamne l'attaque. Toutefois, le Premier ministre jordanien adresse ses condoléances aux familles des terroristes ;
Al Manar, l'organe du Hezbollah décrit une attaque contre des « religieux colons » dans « Jérusalem occupé », précise que les auteurs de l'attaque, originaires du Jabel Moukaber (quartier qui surplombe la mosquée al-Aqsa), sont deux cousins, Ghassan et Oudai Abou Jamal, membres du Front populaire de libération de la Palestine, et rapporte que le chef de la diplomatie bahreïnie a dénoncé « les meurtres des innocents dans la synagogue ».