Dans le monde d'aujourd'hui, Lochieu est un sujet qui a acquis une pertinence sans précédent. Depuis des décennies, Lochieu fait l’objet d’études et d’intérêt de la part d’universitaires, d’experts et de professionnels de divers domaines. Son impact s’est fait sentir dans la société, la culture, la politique et l’économie, générant d’interminables débats et réflexions autour de ses implications. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Lochieu, en analysant son évolution dans le temps, ses défis actuels et ses possibles perspectives d'avenir. De plus, nous examinerons de près les différentes approches et opinions qui existent sur Lochieu, dans le but de fournir un aperçu complet et objectif de ce sujet si d'actualité aujourd'hui.
Au Moyen Âge, la maison forte de Prangins avec « son moulin sur l'Arvières » est citée en 1345 dans une reconnaissance. En 1421, noble Pierre d'Oncieu remet en emphytéose perpétuelle : « son moulin appelé Curia, cours d'eau, bâtiments, dépendances, garniements et sorties » à Pierre, marchand drapier,.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007.
En 2018, la commune comptait 86 habitants, en évolution de −10,42 % par rapport à 2012 (Ain : +5,15 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Musée départemental du Bugey-Valromey : il présente la vie quotidienne en Bugey-Valromey, depuis le XIIIe siècle jusqu'à nos jours. Plus de 3 000 objets illustrent les aspects traditionnels d'une société économiquement tournée vers la production laitière, le travail du bois et de la pierre.
Chartreuse d'Arvières : au cœur de la forêt domaniale d'Arvières, se trouvent les ruines de la Chartreuse d'Arvières, 7e de l'ordre, fondée par saint Arthaud au XIIe siècle, classée au registre des monuments historiques depuis 1995. Ce site, situé à 1 200 m d’altitude, correspond bien au « désert cartusien », isolé, difficile d’accès, asile privilégié pour la vie contemplative. Depuis 1994, l'Association des Amis du Jardin d'Arvières a créé, à l'emplacement de l'ancien potager de l'Abbaye, un jardin ethno-botanique qui rassemble une collection de plantes cultivées depuis le néolithique jusqu'au XVe siècle.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
↑Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe siècle au début du XVIe siècle, Paris, Editions Picard, , 207 p. (ISBN978-2-7084-0770-1), p. 76.
↑Archives départementales de Haute-Savoie, Fonds Daudens.
↑Arnaud Cochet, « Arrêté préfectoral portant création de la commune nouvelle d'Arvière-en-Valromey », Recueil des actes administratifs spécial n°01-2018-168, , p. 19-22 (lire en ligne )