Dans cet article, nous explorerons Joachim Wtewael, un sujet qui a retenu l'attention de nombreuses personnes ces dernières années. Joachim Wtewael est un sujet qui couvre un large éventail d'aspects, de son impact sur la société à sa pertinence dans la culture populaire. Tout au long de cet article, nous examinerons comment Joachim Wtewael a évolué au fil du temps, ainsi que son influence sur divers domaines de la vie quotidienne. Depuis ses origines jusqu'à son état actuel, Joachim Wtewael a laissé une marque significative sur le monde, et il est important de comprendre son importance afin d'apprécier sa valeur dans la société d'aujourd'hui.
Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » ().
Il est le père du peintre Peter Wtewael (1596-1660).
Biographie
Joachim Anthonisz Wtewael débute comme graveur dans l'atelier de son père. Vers 1588-1590, il voyage pendant six mois en France et en Italie (Padoue) où il commence à peindre.
Revenu à Utrecht en 1592, Wtewael devient membre de la confrérie des fabricants de selles comme peintre et réalise des peintures, dessins, gravures et vitraux.
Il devient l’un des principaux acteurs du maniérisme néerlandais avec Abraham Bloemaert, à qui il emprunte la composition de La Résurrection de Lazare à Lille (1595-1600).
Wtewael reste proche de la peinture traditionnelle alors que de la plupart des peintres adoptent alors le naturalisme du début du baroque. Malgré quelques détails naturalistes, comme les plantes au premier plan de La Résurrection de Lazare, c'est un des derniers peintres maniéristes.
La plus importante collection de son œuvre, incluant un Autoportrait (1601), est conservée à Utrecht au Centraal Museum.
↑Vincent Pomarède, 1001 peintures au Louvre : De l’Antiquité au XIXe siècle, Paris/Milan, Musée du Louvre Editions, , 576 p. (ISBN2-35031-032-9), p. 441.
↑Marie-Hélène Lavallée, Guides des collections : Palais des Beaux Arts de Lille, Paris, Réunion des Musées Nationaux, , 245 p. (ISBN2-7118-3516-2), p. 76.
↑Alexis Donetzkoff, « Chefs-d'œuvre du musée des beaux-arts de Lille », Beaux Arts, no Hors série, , p.26-27.