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Henri II de Savoie-Nemours, né à Paris le , mort à Paris le , fut d'abord un homme d'Églisefrançais du XVIIe siècle avant de renoncer à la pourpre pour hériter des titres et possessions de sa famille dont il était le dernier représentant. Archevêque de Reims (1651-1657), il hérite à la mort de son frère Charles-Amédée des titres de duc de Genève, de Nemours et d'Aumale (1652).
D'abord voué à l'état ecclésiastique, il fait ses études avec beaucoup de succès et est nommé, en 1651, archevêque de Reims.
Il doit renoncer à sa carrière religieuse, étant devenu le dernier des Savoie-Nemours par la mort de Charles-Amédée, son frère, tué en duel en 1652 par le duc de Beaufort. Il quitte alors « un état qu’il aurait honoré par ses vertus ».
Ce mariage étonne beaucoup ; on ne comprenait pas que la plus riche héritière de France veuille épouser un cadet, dont l’esprit était assez scolastique, la personne défigurée par une fâcheuse maladie à laquelle il était sujet, sans biens, sans établissement et sans considération. Il paraît que mademoiselle de Longueville se repentit d’avoir donné son consentement à cette union ; mais il était trop tard. Le duc de Nemours est saisi par la fièvre en sortant de l’Église, et de ce moment il n'a pas un seul instant de santé.
Il meurt le . Son cœur est déposé, à Paris, dans l’église Saint-Louis des Jésuites, comme il l'a demandé expressément, et son corps est transporté dans le tombeau de sa famille, à Annecy. Avec lui, finit la branche des princes de Savoie-Nemours, établie en France.
↑Moreri, Le Grand Dictionnaire historique ou le mélange curieux de l'histoire sacrée et profane, t. IX, Paris, Les Libraires associés, , 448-664 p. (lire en ligne), p. 198
Laurent Perrillat, « Les apanages de Genevois au XVe siècle. quelques résultats de recherches sur les institutions et les hommes », Etudes savoisiennes, no halshs-01023760, (lire en ligne).
Laurent Perrillat, L'apanage de Genevois aux XVIe et XVIIe siècles : pouvoirs, institutions, société (tome I), vol. 113, t. 1, Académie salésienne, , 540 p. (lire en ligne).
Laurent Perrillat, L'apanage de Genevois aux XVIe et XVIIe siècles : pouvoirs, institutions, société (tome II), vol. 113, t. 2, Académie salésienne, , 1070 p. (lire en ligne).