Aujourd'hui, Hakkari (province) est un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour un grand nombre de personnes. Son impact couvre divers domaines, de la vie quotidienne au développement technologique et scientifique. Dans cet article, nous approfondirons les différents aspects qui font de Hakkari (province) un sujet si pertinent aujourd'hui, en explorant ses origines, son évolution dans le temps et son influence sur la société. De son importance dans l'histoire à sa pertinence dans la culture populaire, Hakkari (province) est un sujet qui ne laisse personne indifférent et qui mérite d'être analysé en détail pour comprendre sa véritable portée dans le monde d'aujourd'hui.
Hakkari | |
Administration | |
---|---|
Pays | Turquie |
Région | Anatolie orientale |
Capitale | Hakkari |
Indicatif téléphonique international | +(90) |
Plaque minéralogique | 30 |
Démographie | |
Population | 275 761 hab. (2017) |
Densité | 39 hab./km2 |
Géographie | |
Superficie | 712 100 ha = 7 121 km2 |
Localisation | |
Province de Hakkari sur la carte de Turquie | |
Liens | |
Site de la province | Hakkari Valiliği |
modifier |
La province de Hakkari (ou de Colemerg en kurde) est une des 81 provinces de la Turquie. Sa préfecture se trouve dans la ville éponyme de Hakkari.
Sa superficie est de 7 121 km2.
La province est frontalière de l'Irak et de l'Iran (des autres parties du Kurdistan), ce qui en fait à la fois une région de trafics (notamment de pétrole) et à la fois un bastion du PKK. Dans les années où le PKK n'était pas influent, la province de Hakkarî fut, avec d'autres provinces telles que Sirnak, une base arrière des peshmerga kurdes, notamment ceux du Parti démocratique du Kurdistan.
Au recensement de 2000, la province était peuplée d'environ 236 581 habitants, soit une densité de population d'environ 33 hab./km2. La province est peuplée en majorité de Kurdes. Elle était le refuge, jusqu'aux massacres des assyriens de 1914 à 1917, de communautés chrétiennes de l'Église apostolique assyrienne de l'Orient. Qotchanès fut le siège patriarcal de l'Église du XVIIe siècle jusqu'en 1915.
La province est administrée par un préfet.
La province est divisée en quatre districts :