Dans cet article, nous explorerons le monde fascinant de Google Docs, Sheets, Slides et Forms. De ses origines à ses implications aujourd’hui, nous approfondirons une analyse approfondie et détaillée de ce sujet/sujet/personne/date. Nous découvrirons sa pertinence dans différents contextes, son impact sur la société et son rôle dans l'histoire. Grâce à une recherche exhaustive, nous examinerons tous les aspects de Google Docs, Sheets, Slides et Forms, en présentant des données et des réflexions qui inviteront le lecteur à approfondir sa compréhension. Dans l'intention d'offrir une vision complète et enrichissante, nous aborderons Google Docs, Sheets, Slides et Forms sous différentes approches et perspectives, dans le but d'enrichir la compréhension de ce sujet/sujet/personne/date.
Google Documents | ||
Adresse | www.google.com/intl/fr/drive/ | |
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Commercial | Oui | |
Publicité | Non | |
Langue | Multilingue | |
Inscription | Gratuite | |
Propriétaire | ||
Créé par | ||
Lancement | 2006 | |
État actuel | En activité | |
modifier |
La suite bureautique de Google, disponible via Google Drive, inclut Google Docs, un logiciel de traitement de texte basé sur le Web, Sheets, un tableur, et Slides, un logiciel de présentation. Cette suite permet de créer et de modifier des documents en ligne et de travailler en équipe, en temps réel.
Les trois applications sont disponibles aussi bien en tant qu'applications Web, qu'applications Chrome fonctionnant hors ligne et qu'applications mobiles pour Android et iOS. Elles sont compatibles avec les formats de fichier de Microsoft Office. La suite inclut également Forms, un programme de questionnaires, Google Drawings et Google Tables (version bêta). Tout comme Forms et Tables, Drawings est disponible en tant qu'application Web mais également en tant qu'application Chrome.
La suite est étroitement intégrée à Google Drive. Tous les fichiers créés avec ces applications sont enregistrés par défaut dans Google Drive.
Le , Google ouvre le site Google Docs & Spreadsheets qui regroupe les accès à l'ancien Writely et Google Spreadsheets.
Quatre mois plus tard, le site est traduit en plusieurs langues, dont le français sous le nom Google Document et Tableur dans un premier temps, puis Google Documents ensuite (Google Docs en anglais).
Début 2012, Google Drive est lancé et permet par le moyen d'une application sur Android, iOS, PC ou Mac de synchroniser tous ses fichiers. Dès l'activation par l'utilisateur, ce service remplace Google Docs.
Document et Tableur est développé à base d'AJAX. Il est présenté comme une application de type Web 2.0.
Les menus, raccourcis claviers et boîtes de dialogues se présentent de façon similaire aux logiciels bureautiques tels que la suite Microsoft Office ou OpenOffice.org. Tous les principaux navigateurs supportent entièrement les fonctionnalités de Google Document et Tableur. Google promeut activement le Cloud computing. À cet effet, l'entreprise a apporté un certain nombre d'améliorations à ses services Docs, avec notamment la mise à disposition d'une API de connexion et d'accès aux documents.
Parmi les possibilités offertes par Google Documents :
Depuis le , les documents et les images imbriquées ne doivent respectivement pas dépasser 1 Go et 2 Mo. Les fichiers téléchargés qui n'ont pas été convertis au format Google Docs peuvent atteindre 10 Go maximum.
D'autres limites sont également appliquées à certains types de fichier, comme indiqué ci-dessous :
Les formats de fichier suivants peuvent être affichés et convertis aux formats Docs, Sheets ou Slides :
Google ne prend pas en charge les propriétés de fichier/document (métadonnées) qui sont visibles dans Windows Explorer et d'autres applications Microsoft. En cas de conversion d'un document Google, les propriétés de fichier/document ne seront pas définies.
En Union européenne, et en particulier en France, le Ministère de l'éducation nationale indique que les informations hébergées par Google dans un Google doc ne présentent pas les garanties demandées par le Règlement général sur la protection des données européen et la CNIL et demande d'« arrêter tout déploiement ou extension » des outils de Google sans attendre.
En particulier du fait que ce service n'est pas exclusivement soumis au droit européen, qu'il peut héberger des données hors de l'Union européenne, et les transférer aux États-Unis. Le Ministère de l'éducation nationale français a ainsi rappelé dans une réponse à une question parlementaire de Philippe Latombe que la suite collaborative Google Éducation n'était pas adéquate, s'appuyant sur l'arrêt « Schrems II » de la Cour de justice de l'Union européenne, les recommandations de la CNIL à l'intention des établissements d'enseignement supérieur en France, ainsi que la circulaire du Premier ministre n°6282-SG relative à la doctrine d'utilisation de l'informatique en nuage par l'État et la note interministérielle du directeur interministériel du numérique du qui y fait référence.