Dans le monde d’aujourd’hui, Et moi, et moi, et moi (chanson) est devenu un sujet d’intérêt pour un large spectre de société. Que ce soit en raison de son impact sur l'économie, la politique, la culture ou la vie quotidienne des gens, Et moi, et moi, et moi (chanson) est une problématique qui ne passe pas inaperçue. À mesure que le monde avance et évolue, Et moi, et moi, et moi (chanson) devient de plus en plus pertinent et il devient nécessaire de comprendre ses implications dans différents aspects de la vie. Dans cet article, nous explorerons en profondeur Et moi, et moi, et moi (chanson) et ses nombreuses facettes, en analysant son importance et son influence dans le monde d'aujourd'hui.
À l'origine guitariste solo du groupe El Toro et les Cyclones, puis guitariste d'Eddy Mitchell, et compositeur, Jacques Dutronc passe pour la première fois au chant avec ce premier tube de sa carrière Et moi, et moi, et moi, dont il a composé la musique, avec des paroles de Jacques Lanzmann. Elle est initialement destinée au chanteur Benjamin, mais son interprétation ne satisfait pas Jacques Wolfsohn, son producteur chez Vogue. Le texte est ensuite confié à Hadi Kalafate, bassiste d'El Toro et les Cyclones, mais c'est finalement Jacques Dutronc (assistant de Jacques Wolfsohn chez Vogue) qui s'avère avoir la voix qui convient le mieux.
Jacques Dutronc est alors âgé de 23 ans quand il interprète cette chanson de rock psychédélique français, avec son profil de dandyparisien, et son humourironique, satirique, voire sarcastique et désinvolte qui le caractérise. Il l'enregistre en s'accompagnant à la guitare « Sept cent millions de chinois, et moi, et moi, et moi, avec ma vie, mon petit chez-moi, mon mal de tête, mon point au foie, j'y pense et puis j'oublie, c'est la vie, c'est la vie...». Le succès fulgurant de ce 1er album Jacques Dutronc (album) le propulse alors aux sommets des ventes et des célébrités de la pop française des années 1960, avec ses premiers tubes Les Cactus, Les Play-Boys, J’aime les filles,...
1967 : deux versions sont publiées en Italie, Il mondo va cosi de Franco Battiato, et E voi, e voi, e voi de Gene Guglielmi.
1968 : Bob Azzam et son orchestre ont repris la chanson dans une version en anglais intitulée The Story of My Life sur son album New Sounds.
1973 : Mungo Jerry, le groupe qui a connu un succès mondial avec In the Summertime, a enregistré une version anglaise intitulée Alright, Alright, Alright, classée no 3 dans les Charts britanniques.
1995 : un combo anglo-français « Dutronc ! Dutronc ! Dutronc! » (patronyme hommage à un « Et moi ! Et moi ! Et moi ! ») reprend une collection de tube de Jacques Dutronc sur son album éponyme paru en 1995, dont le titre en question (label Garden Records, ref. DGLP-70).
2004 : un enregistrement de la version italienne Il mondo va cosi par Jacques Dutronc figure sur le disque 6 de la compilation Intégrale Les Cactus.
Chez les yéyés — Jacques Dutronc : Et moi, et moi, et moi. Conférence donnée en partenariat avec le Hall de la chanson, le , à la BnF, François-Mitterrand. Prestation animée et chantée par Olivier Hussenet et Serge Hureau, accompagné au piano par Cyrille Lehn (versions vidéo et audio, 79 min) — Rencontre musicale organisée dans le cadre de l’exposition « Vogue, l’aventure d’une maison de disques », qui s'est déroulée du 18 septembre au 13 novembre 2011.