De nos jours, Daucus annuus est un sujet qui a retenu l'attention de nombreuses personnes à travers le monde. Depuis son émergence, Daucus annuus a suscité un grand intérêt et fait l'objet de débats dans divers cercles. Au fil des années, Daucus annuus s'est avéré pertinent dans divers domaines, de la technologie à la politique, en passant par la culture et la société en général. Alors que nous continuons à explorer et à analyser Daucus annuus, il est impératif de comprendre son impact sur notre vie quotidienne et sur le monde qui nous entoure. Dans cet article, nous approfondirons l'importance de Daucus annuus et son influence sur différents aspects de la société contemporaine.
C'est une plante annuelleherbacée pouvant atteindre environ 40 cm de haut avec des racines fusiformes subcarnées à l'odeur et à la couleur de carotte. La tige est ramifiée, généralement violette et glabre ou sous-glabre à la base, devenant grossièrement sillonnée à angulaire et rétrogradement rugueuse à hispide vers l'apex. Les feuilles sont 2–3 pénatipartites avec les segments ou lobes ovo-lancéolés, aigus, mucronés à l'apex, sous-glabre à hispide sur les deux faces.
Appareil reproducteur
Les ombelles sont terminales et latérales, peu profondes ; les pédoncules mesurent de 5 à 18 cm de long, profondément sillonnés, rétrogradement rugueux à hispides. Il y a 6 à 8 bractées, linéaires-lancéolées à linéaires-oblancéolées, de 6-12(-17) mm de long, avec bords membraneux involutés, en règle générale sub-érigées sur le fruit ; les rayons sont généralement par 20-30 (rarement plus), rugueux à hispiduleux, jusqu'à 25 mm de long, congestionnés et sub-érigés dans le fruit ; les bractéoles sont au nombre de 6-8 par ombellule, mesurant jusqu'à 6 mm de long, lancéolées, avec des bords membraneux. Les lobes du calice sont sous-nuls. Les pétales sont blancs, ceux des fleurs périphériques mesurant 1 mm de long ; les anthères, de 0,3–0,4 mm de long, sont jaunes ; l'ovaire est minutieusement scabreux ; le stylopode est conique ; les styles, de 0,3 mm de long, sont érigés, de jusqu'à 1 mm de long et sub-érigés dans le fruit. Le fruit est de dimensions allant jusqu'à 4,0 X 3,0 mm, de forme elliptique à largement elliptique en projection dorsale, généralement avec des ailes et un dos secondaire fortement denté, parfois ce dernier étroitement ailé.
Habitat et répartition
L'espèce est endémique du Cap-Vert. On la trouve sur les pentes sub-humides des îles Fogo et Santiago, entre 350 et 800 m d'altitude (contre 130 m sur l'île Fogo), et elle peut envahir les cultures. L'espèce est vulnérable.
↑ a et bSous le nom Tornabenea annua: (pt) E. S. Martins, Flora de Cabo Verde-Plantas Vasculares : Apiaceae, vol. 67, (lire en ligne ), p. 21
↑ a et bsous le nom Tornabenea annua : (en) Clara Grosso, Generosa Teixeira, Isildo Gomes, Eurico S. Martins, José G. Barroso, Luis G. Pedro et A. Cristina Figueiredo, « Assessment of the essential oil composition of Tornabenea annua, Tornabenea insularis and Tornabenea tenuissima fruits from Cape Verde Islands », Biochemical Systematics and Ecology, (lire en ligne)
↑Synthèse Afrique de l'Ouest, (lire en ligne), « Flore - Végétation - Occupation des terres », p. 64 sous le nom Tornabenea annua.
(en) Łukasz Banasiak, Aneta Wojewódzka, Jakub Baczyński et Jean-Pierre Reduron, « Phylogeny of Apiaceae subtribe Daucinae and the taxonomic delineation of its genera », TAXON, vol. 65, no 3, , p. 578 (ISSN1996-8175, DOI10.12705/653.8, lire en ligne, consulté le )