Dans le monde d'aujourd'hui, Chapelle Notre-Dame-de-Cahuzac de Gimont a acquis une pertinence inattendue. Son impact s’est fait sentir dans tous les domaines de la société, de la politique à la culture, en passant par la technologie et l’économie. Il est impossible d’ignorer sa présence, puisque ses effets sont visibles dans la vie quotidienne de millions de personnes à travers le monde. Il est donc impératif d’approfondir ses implications et de comprendre le rôle qu’il joue aujourd’hui. Cet article vise à explorer les différentes facettes de Chapelle Notre-Dame-de-Cahuzac de Gimont, en analysant son influence et ses répercussions dans différents domaines, afin de faire la lumière sur un phénomène en constante évolution.
La chapelle ainsi que le portail d'entrée du bâtiment accolé sont inscrits à l'inventaire des monuments historiques depuis 2017.
Localisation
La chapelle est campée sur la rive gauche de la Gimone, à la limite de l'ancien diocèse d'Auch, à environ 1 km par la RN 124 et la D 12 en direction de Saramon.
Historique
Elle fut de tout temps chérie des évêques d'Auch. Elle est liée à la découverte miraculeuse en 1513, par un jeune berger, d'une statue de la Vierge vénérée sous le nom de « Notre-Dame de l'Orme ». On construisit peu de temps après la chapelle : de 1515 à 1524.
Le bâtiment est en brique. Son plan est une réduction de l'église voisine de Gimont.
L'intérieur est pourvu d'un riche mobilier : 3 vitraux du XVIe siècle, retables de la fin XVIe-début XVIIe siècle. C'est un des lieux de pèlerinage marial les plus anciens de la Gascogne, impliquant la pose de nombreux médaillons, ex-votos et plaques de marbres à l’intérieur de l’édifice.
Elle a été rénovée en 2013 mais présente toujours des dégradations.
↑Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN2-7399-5032-2, BNF35576310)