Dans le monde d'aujourd'hui, Bureau de la traduction est un sujet qui a acquis une pertinence sans précédent. Depuis ses origines jusqu'à nos jours, Bureau de la traduction a fait l'objet d'études, de débats et de controverses dans différents domaines. Que ce soit par son impact sur la société, l’économie, la politique ou la culture, Bureau de la traduction a laissé une marque indélébile dans l’histoire. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects de Bureau de la traduction, en analysant son importance, son évolution et ses répercussions dans le monde contemporain. A travers une approche multidisciplinaire, nous chercherons à comprendre la complexité de Bureau de la traduction et son influence sur notre quotidien.
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Le Bureau de la traduction est un organisme de services spéciaux du Ministère des Travaux publics et des Services gouvernementaux, créé en 1934 par une loi du Parlement du Canada. Il a pour mission d’appuyer le gouvernement du Canada dans ses efforts visant à servir les Canadiennes et les Canadiens et communiquer avec eux dans la langue officielle de leur choix.
Pour s’acquitter de sa mission, le Bureau de la traduction fournit des produits et des services de traduction, d'interprétation et de terminologie au Parlement, aux tribunaux et aux ministères et organismes fédéraux, dans les deux langues officielles ainsi que dans plus de cent langues étrangères et autochtones, au besoin. Il dispense ces services, sur demande, à d'autres administrations publiques du Canada et à des organismes internationaux.
En tant que centre d’expertise fédéral en solutions langagières (services de traduction, d’interprétation, de révision et d’autres services linguistiques), le Bureau de la traduction est l’autorité de normalisation terminologique au sein du gouvernement du Canada et le fournisseur exclusif de services de traduction, de révision et d'interprétation au Parlement.
Le Bureau de la traduction gère le Portail linguistique du Canada et son produit vedette, TERMIUM Plus, la banque de données terminologiques et linguistiques du gouvernement du Canada.
Depuis 2013-2014, tous les documents contractuels destinés aux fournisseurs professionnels de services en traduction contiennent une clause de pondération dans laquelle le Bureau de la traduction oblige ses fournisseurs externes à utiliser sa mémoire de traduction. Étant donné la taille imposante de la mémoire de traduction du Bureau de la traduction, cela permettrait à cet organisme gouvernemental de réaliser des économies de l'ordre de 50 %. Cette politique contractuelle est contestée par un certain nombre de fournisseurs de services qui allèguent dans une action collective que la clause de pondération serait une clause abusive et contraire à l'ordre public.