Allée des Justes-parmi-les-Nations (Paris)

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4e arrt
Allée des Justes-parmi-les-Nations
Voir la photo.
Allée des Justes, en hommage aux Justes de France qui sauvèrent des Juifs durant l'Occupation.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 4e
Quartier Saint-Gervais
Marais
Début 17, rue Geoffroy-l'Asnier
Fin 14, rue du Pont-Louis-Philippe
Morphologie
Longueur 60 m
Largeur 10 m
Historique
Dénomination
Ancien nom Rue du Grenier-sur-l'Eau
Allée des Justes-de-France
Géocodification
Ville de Paris 4996
DGI 5133
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Allée des Justes-parmi-les-Nations
Géolocalisation sur la carte : 4e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 4e arrondissement de Paris)
Allée des Justes-parmi-les-Nations
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L’allée des Justes-parmi-les-Nations (ou allée des Justes, allée des Justes-de-France, selon divers plans de Paris) est située dans le quartier du Marais (4e arrondissement de Paris).

Situation et accès

Cette allée est située entre la rue Geoffroy-l'Asnier et la rue du Pont-Louis-Philippe.

Origine du nom

Elle commémore les Justes parmi les nations français, et les enfants juifs déportés.

Historique

Cette allée piétonne plantée d'une rangée d'arbres est anciennement une partie de la rue du Grenier-sur-l'Eau qui a pris la dénomination de « allée des Justes-de-France » le , avant de prendre sa dénomination actuelle par un arrêté municipal des , , et .

Elle est dégradée en sur demande du pouvoir politique russe pour simuler une déstabilisation pro-palestinenne dans le cadre du conflit au Proche-Orient afin de façonner l'opinion publique.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

  • Mur des Justes : sur le mur d'enceinte du Mémorial de la Shoah, des plaques rendent hommage aux Justes de France. Elles ont été inaugurées le . La liste comporte plus de 3 900 noms, classés par l'année où le titre leur a été décerné et par ordre alphabétique.
  • Le Passage amplifié, installation artistique en mémoire des enfants juifs déportés, sur le mur du collège François-Couperin.
  • Une fontaine Wallace à l'extrémité ouest.
  • No 2 : groupe scolaire, au croisement avec la rue Geoffroy-l'Asnier. L'inscription ancienne « École de filles » figure encore de nos jours côté rue et « École de garçons » côté allée, bien que l'établissement actuel soit le collège François-Couperin.
  • Des tombes mérovingiennes sont découvertes aux alentours du N°2 .
    Sous l'Occupation, lors de la rafle du Vélodrome d'Hiver de , un centre de regroupement de Juifs y est installé.

Noms de quelques Justes

Façade du collège François-Couperin.

Voir également la Catégorie:Juste parmi les nations français

Références

  1. Encart au Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris n°13, vendredi 15 avril 2002.
  2. Matthieu Suc, « Opération « Mains rouges » : comment la France a déjoué une ingérence russe », sur Mediapart, .
  3. « Cérémonie nationale en l'honneur des Justes de France, Panthéon, Paris, le jeudi  », sur maisondesjustes.com, Maison des Justes de Charleroi (version du sur Internet Archive).
  4. Ville de Paris, « Encart au Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris, N°13 du vendredi 15 avril 2002 » , (consulté le )
  5. Benoît Hopquin, « Les miraculés du Vél’d’Hiv’: « C’est la seule gifle que j’ai reçue de maman. J’ai compris plus tard qu’elle m’avait sauvé la vie » », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  6. a et b « Émile et Marie-Louise Faure, Jules Lafue et Madeleine Veron, Justes parmi les Nations », sur Comité français pour Yad-Vachem, (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes