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Fils d'un couple d'artistes dramatiques, Aimé Marius Clariond naît à Périgueux au hasard d'une tournée théâtrale de ses parents.
Aimé Clariond est très marqué par la Première Guerre mondiale à laquelle il a participé. Mobilisé dans l'infanterie le , il est promu caporal en décembre et sergent en mai 1915. Il est blessé d'une balle dans la poitrine le à Neuville-Saint-Vaast. Revenu au front dans les rangs du 101e régiment d'infanterie en décembre, il est fait prisonnier de guerre le devant le Fort de Vaux. Le sergent Clariond est interné au camp de Chemnitz dont il est rapatrié en décembre 1918. Versé dans une section de Commis et ouvriers d'administration, il est finalement rendu à la vie civile le .
Il est décoré de la Croix de guerre.
Il n'a jamais pu intégrer le Conservatoire : il est recalé à trois reprises au concours d'entrée.
Il entre au théâtre de l'Odéon, où il interprète les « classiques », en 1921, avant de rejoindre, à partir de 1926, la troupe d'André Antoine puis celle de Lugné-Poe au théâtre de l'Œuvre. Il entame parallèlement une carrière au cinéma qui s’avérera exceptionnelle pour un comédien de théâtre.
Il est engagé comme pensionnaire à la Comédie-Française le par Édouard Bourdet qui vient d'être nommé administrateur général par le gouvernement du Front populaire. Il est nommé sociétaire dès l'année suivante le . Il en démissionne le . Réengagé en qualité de pensionnaire le , il est réintégré au rang de sociétaire le . Il le demeure jusqu'à sa mort en 1959.
En 1939, il est classé dans l'affectation spéciale au titre de la Comédie-Française. Sous l'Occupation, il se prévaut d'avoir appartenu à la Résistance au sein du Front National.
Il meurt dans la nuit du au . Il vivait au moulin de Troissereux dans l'Oise. Il est inhumé à Fouquenies (Oise) le . En son honneur, la Comédie-Française fait relâche exceptionnellement ce jour-là.
Vie privée
Le 24 septembre 1921, Aimé Clariond se marie une première fois avec Marie Louise Marthe Richard (1898-1981) à Vichy, dans l'Allier. Le couple aura une fille Jacqueline née en 1922. Ils divorcent le 10 juillet 1941.
Au milieu des années 1930, il fait la connaissance de la comédienne Renée Simonot, pensionnaire du théâtre de l'Odéon, avec laquelle il a une fille, Danielle, née en 1936. Le couple se sépare peu de temps après. Renée Simonot se remarie en 1940 avec le comédien Maurice Dorléac avec lequel elle a trois filles comédiennes : Françoise, Catherine et Sylvie.
Il entretient ensuite une relation avec sa camarade du théâtre français Jeanne Sully, fille du tragédien Mounet-Sully, avec qui il aura deux enfants : Marie-Thérèse dite « Clarionde » née en 1938, et François Aimé, né en 1942.
Il épouse ensuite Irène Morozov (1912-1998), de nationalité russe et fille adoptive de Pierre O'Connell, avec laquelle il a deux enfants, Bernard Clariond, (1938-2000) et Irène France Aimée (1944-1998).
Il entretient durant les cinq dernières années de sa vie une relation avec la comédienne Paulette Simonin.