De nos jours, Abbaye de Fontenay est un sujet qui a acquis une grande importance dans la société actuelle. Depuis son émergence, Abbaye de Fontenay a attiré l'attention des experts, des universitaires et des personnes de tous âges. Que ce soit en raison de son impact dans la sphère sociale, économique ou technologique, Abbaye de Fontenay se positionne comme un sujet d’intérêt général qui mérite d’être analysé et discuté en profondeur. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Abbaye de Fontenay, son importance dans le monde actuel et les scénarios futurs possibles qui pourraient découler de son évolution. A travers une analyse détaillée, nous aborderons les aspects les plus pertinents de Abbaye de Fontenay pour comprendre son influence sur notre vie quotidienne et la société dans son ensemble.
L'abbaye de Fontenay est fondée en 1118 par saint Bernard de Clairvaux, et reçoit le nom de Fontenay car le site comporte de nombreuses sources. Elle est consacrée par le pape cistercien Eugène III le en présence de dix cardinaux, huit évêques et de nombreux abbés du jeune Ordre, dont celui de Clairvaux.
Le premier abbé est Geoffroy de La Roche-Vanneau, proche de saint Bernard, dont il était cousin et l’un des compagnons lorsque celui-ci entra à Cîteaux, et également l’un des premiers moines de Clairvaux. Il bénéficia toute sa vie de la confiance de Bernard de Clairvaux. Geoffroy de La Roche-Vanneau démissionne en 1126 pour revenir à Clairvaux, où il remplace le prieur Humbert, parti fonder l'Abbaye Notre-Dame d'Igny. Il deviendra ensuite évêque de Langres de 1139 à 1162 (date incertaine) où Bernard de Clairvaux l’installa à l'issue de « la tempête de Langres », avant de se retirer à Clairvaux pour y mourir en 1165.
Son successeur est Guillaume d’Épiry (de Spiriaco), autre parent de saint Bernard de Clairvaux. Sous son abbatiat, en 1131, Fontenay fonde l’abbaye des Écharlis. Il reçoit, vraisemblablement en 1145, Ébrard ou Éverard de Calne, évêque de Norwich consacré le , ancien chapelain du roi Henri Ier Beauclerc, qui se retire à Fontenay, peut-être pour expier des aliénations du temporel épiscopal,
En 1170 une bulle du papeAlexandre III confirme l'abbaye dans ses biens et permet aux moines d'élire un abbé. Aux XIIe et XIIIe siècles, l'abbaye est très prospère, les moines y développent des activités métallurgiques et sidérurgiques. À cette époque un hôtel particulier est bâti à Montbard pour l'abbé : le Petit Fontenet, qui sera plus tard occupé par Buffon.
En 1259, Saint Louis exempte l'abbaye de tout prélèvement fiscal.
Malgré cette protection royale, l'abbaye est pillée à plusieurs reprises pendant les guerres qui ravagent la Bourgogne mais jouit d'une influence croissante jusqu'au XVIe siècle. À partir de cette période, l'instauration du régime de la « commende », supprimant l'élection des abbés par les moines au profit de bénéficiaires choisis par l'autorité royale, marque le début de son déclin.
À partir du XVIIIe siècle, l'abbaye de Fontenay n'est plus que l'ombre de ce qu'elle avait été : les moines sont obligés, faute de moyens financiers pour l'entretenir, de détruire le réfectoire. L'hôtel particulier de Montbard, le Petit Fontenet est vendu en 1768 au naturaliste Buffon qui y installe sa bibliothèque et son laboratoire de chimie. La Révolution ne chasse qu'une dizaine de moines de l'abbaye.
En 1791, l'abbaye est vendue pour 78 000 francs, avec toutes ses terres à Claude Hugot qui, profitant des installations hydrauliques des moines, la transforme en papeterie, elle le reste pendant près d'un siècle.
En 1906, l'abbaye est rachetée par le banquier lyonnais et amateur d'art Édouard Aynard ; sa petite fille Christine Aynard, qui sera plus tard connue en tant qu'Andrée Putman, future architecte d'intérieur et designeuse de réputation internationale, y passe enfant la plupart de ses étés, ce qui nourrit ses premières perceptions esthétiques. Entre 1905 et 1911 de grands travaux de restauration sont entrepris pour lui rendre son aspect médiéval. Les usines sont démolies, le sol de l'église dégagé sur 80 cm et l'aile gauche du cloître est remontée pierre par pierre.
En 1981, le propriétaire des lieux étant Hubert Aynard (1924-2024), l'abbaye est inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO.
En 2006, elle est toujours entre les mains de la famille Aynard. Ouverte au public, on peut en visiter une grande partie.
En 2018, une messe de dédicace a été concélébrée par Roland Minnerath, archevêque de Dijon, et dom Olivier Quenardel, abbé de Cîteaux, pour fêter le 900e anniversaire de la fondation de l'abbaye.
Elle a été construite de 1127 à 1150 selon un plan cruciforme et des proportions qui lui valent d'être considérée comme une église-type de l'architecture cistercienne. Elle mesure 66 mètres de long, le transept mesurant 19 mètres. La nef de 8 m de large, est flanquée de deux bas-côtés. Les grandes arcades sont en berceau brisé, reposant sur des colonnes aux chapiteaux à décor lancéolé avec un faible relief, respectant ainsi la sobriété cistercienne.
Le chœur, de forme carrée, est plus bas que la nef. Le pavage est fait de céramiques, qui recouvraient auparavant l'ensemble du sol de l'édifice.
Au Moyen Âge, la façade était précédée d'un porche. À l'intérieur, on peut admirer une Vierge à l'Enfant datant du XIIIe siècle. Cette statue fut longtemps exposée aux intempéries dans le cimetière de Touillon (commune voisine de l'abbaye). La Vierge porte l'enfant Jésus sur son bras gauche, il entoure le cou de sa mère de son bras droit et tient sur sa poitrine une colombe aux ailes déployées avec sa main gauche. Nul autre mobilier n'est visible, les stalles originales ayant été abîmées par l'humidité, obligeant à un relèvement du sol de près d'un mètre à la fin du XVIIIe siècle.
Le cloître
Il s'agit d'une des parties les plus remarquables du site. Il mesure trente-six mètres sur trente-huit, les quatre galeries, tout en conservant une grande unité, présentent certaines différences de construction. Elles sont composées chacune de huit travées formant archivolte et doubles arcades reposant sur des piliers avec doubles colonnettes à chapiteaux lancéolés.
C'est le cœur de l'abbaye, car c'est là que les moines s'adonnaient à la lecture spirituelle et que se déroulaient les processions ainsi que le lavement des pieds ritualisé. La galerie située à l'est menait les moines aux offices, à la salle capitulaire et à son extrémité sud, au dortoir par escalier de jour. En 1911, lors de travaux, on y découvrit l’armarium, un placard creusé dans le mur où étaient rangés les livres liturgiques d'usage courant ainsi que d'autres utilisés par les moines pour leur Lectio divina.
La galerie sud est la galerie du réfectoire. Elle contenait un lavabo, disparu depuis, côté cour, en face de la porte du réfectoire.
La salle capitulaire (ou chapitre)
C'est là qu'étaient prises les décisions concernant la communauté après lecture d'un chapitre de la Règle de Saint Benoît, commenté par le Père Abbé.
Elle s'ouvre sur la galerie est du cloître par une grande arcade cintrée, flanquée de chaque côté d'une double baie.
À l'origine la salle capitulaire était parfaitement carrée, elle était formée de trois larges travées voûtées d'ogive et reposant sur des colonnettes; la troisième travée fut détruite par un incendie vers 1450. Au début du XXe siècle, on a abattu la cloison entre la salle capitulaire et le parloir. Les clés de voûte sont ornées par un motif floral simple.
La salle des moines
Dans le prolongement de la salle capitulaire et du parloir, se trouve la salle des moines. Cette grande salle, recouverte de douze voûtes d'ogives formant six travées, mesure trente mètres de long. Elle était affectée à des tâches diverses ; c'est sans doute dans l'une de ses parties que les moines copistes recopiaient et enluminaient les manuscrits.
La salle capitulaire.
Le dortoir.
L'escalier de nuit menant du dortoir à l'église.
La forge.
La marteau pilon de la forge.
Le dortoir
Le dortoir occupe tout l'étage du bâtiment des moines, au-dessus des différents locaux de la galerie Est. Il est desservi par un escalier à chaque extrémité. Au nord, l'escalier de nuit permettait de descendre directement dans l'église pour l'Office de Matines. Le dortoir fut incendié au XVe siècle, et la charpente remplacée par celle que l'on peut admirer de nos jours et qui a une forme de coque de navire renversé. Dans la règle de Saint Benoît, on trouve des prescriptions détaillées relatives au dortoir.
La forge
Le bâtiment se trouve à la limite sud de la propriété, il mesure cinquante-trois mètres de long sur treize mètres cinquante, sur voutes d'ogives reposant sur des colonnes centrales et aux murs sur des culots en pyramide tronquée. Il a été construit par les moines à la fin du XIIe siècle.
Le bâtiment est traditionnellement interprété comme une forge où l'on travaillait le minerai provenant de la colline au-dessus du monastère. Il n'existe cependant aucune évidence écrite, architecturale ou archéologique à l'appui de cette interprétation. Des comparaisons architecturales suggèrent plutôt une interprétation comme bâtiment de brassage ou de cuisson.
Bâtiments abbatiaux extérieurs à l’enceinte actuelle (certains non visitables)
L'enfermerie
Isolé à l'extrémité du dortoir, ce petit bâtiment du XVIe siècle est souvent considéré, de par son nom comme une ancienne prison. Il est vrai que les abbés avaient droit de haute et basse justice sur les terres de l'abbaye. Certains préfèrent y voir un lieu où l'on conservait (« enfermait ») les biens les plus précieux de l'abbaye, livres ou objets de culte. Le mur pignon de cette construction n'est autre que l'unique élément subsistant du réfectoire du XIIIe siècle.
La galerie Seguin
Datant de 1850, ce bâtiment, situé à l'emplacement de l'ancien réfectoire et des cuisines, fut édifié par Marc Seguin, gendre d'Élie de Montgolfier. Important scientifique français du XIXe siècle, Marc Seguin construisit notamment les premiers chemins de fer en France.
Le logis abbatial et la « maison rouge »
En retrait du bâtiment XIXe siècle, cet élégant édifice de la première moitié du XVIIIe siècle était le logement des abbés commendataires, nommés par le roi, lorsque Fontenay passa sous le régime de la commende en 1547. Habitations coquettes, ces bâtiments sont loin de la rigueur cistercienne.
Le colombier et le chenil
À gauche du palais abbatial, le colombier borde le chemin qui mène à l'église. Les murs de sa tour ont plus d'un mètre d'épaisseur et sa construction doit remonter au XIIe ou XIIIe siècle. De l'autre côté du chemin, deux sculptures de chiens rappellent l'emplacement de l'ancien chenil. Les chiens des ducs de Bourgogne qui chassaient dans la forêt y étaient en pension.
L'infirmerie
En sortant dans le jardin par la porte située entre la salle du chapitre et la salle des moines, on aperçoit l'infirmerie et sa terrasse, construction du XVIIIe siècle dont les murs remontent à la fondation de l'abbaye. Les moines cultivaient les plantes médicinales à proximité de ce bâtiment.
La chapelle des étrangers et la boulangerie
Le grand bâtiment qui abrite l'actuelle librairie et le musée lapidaire de l'abbaye date du XIIIe siècle. C'était la chapelle des étrangers qui n'avaient pas le droit de pénétrer dans l'enceinte monastique. La boulangerie, à l'extrémité nord, conserve encore son ancienne cheminée cylindrique.
La porterie et l'hôtellerie
Surmonté d'un étage reconstruit au XVe siècle, c'était le logement du frère portier. À droite de l'escalier, on distingue la niche du chien et le trou dans le mur par lequel il pouvait passer la tête. À droite de la porterie, l'hôtellerie occupait une partie du bâtiment actuel.
↑(la) Leopold Janauschek, Originum Cisterciensium : in quo, praemissis congregationum domiciliis adjectisque tabulis chronologico-genealogicis, veterum abbatiarum a monachis habitatarum fundationes ad fidem antiquissimorum fontium primus descripsit, t. I, Vienne, Puthod, , 491 p. (lire en ligne), p. 101.
↑C. Courtépée, Description générale et particulière du duché de Bourgogne, Avallon-Paris, 1967, t. III, p. 547, avance la date de 1118. Les références données par L. Janauschek sont suffisamment nombreuses pour étayer la date de 1119. C’est la donation du terrain qui date de 1118 : les moines essaiment le 29 octobre 1119 ; cf. Janauschek 1877, p. 8 no XII
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↑Dictionnaire d'histoire et de géographie ecclésiastiques, t. XX, col. 554-556
↑Allusion à l'élection épiscopale de Langres de 1138, selon le mot de Pierre le Vénérable, alors opposé à Bernard de Clervaux dans le choix de l'évêque
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↑Il démissionne pour revenir à Clairvaux avant de devenir évêque de Langres.
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